Réalisateur | Mordillat Gérard |
Acteur | François Morel |
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C’est la crise, la bourse dégringole, les banques sont au bord de la faillite, le crédit est mort, l’économie se meurt… Pour sauver leurs mises les banquiers font appel à l’État. L’État haï est soudain le sauveur ! Les citoyens paieront pour que le système perdure, que les riches restent riches, les pauvres pauvres. Adapté de la pièce de Frédéric Lordon cette histoire d’aujourd’hui se raconte en alexandrins classiques. C’est tragique comme du Racine, comique comme du Molière… Avec : Edouard Baer, Jacques Weber, François Morel, Patrick Mille, Alain Pralon, Christine Murillo, Frank de la Personne, Antoine Bourseiller, Odile Conseil, Jacques Pater...
L’émission Là-bas si j’y suis de Daniel Mermet consacrée au film, que vous pouvez écouter ici.
L’Humanité : « Quelle belle idée que d’avoir tourné dans ce décor unique, une usine désaffectée dont les murs lépreux offrent des jeux de miroir infinis, qui par la magie du cinéma se transforme à vue. »
Le Parisien « Des vers au cinéma… sur le thème de la crise : le pari était pour le moins audacieux, mais tenu par des acteurs d’un naturel éblouissant, dont Jacques Weber en banquier, François Morel en conseiller faux-cul. Les couacs de la finance deviennent tout à coup transparents pour qui n’y comprend que couic. Et qu’est-ce qu’on s’amuse à ces rimes bancaires, forcément riches ! »
Les Inrockuptibles « C’est remarquablement bien écrit, et entendre parler de titrisation ou de subprimes en vers XVIIIème est assez jouissif »
Marianne « Insolent comme Molière, ce film dit la vérité des puissants dans la langue de Racine. »
Un film de Gérard Mordillat d’après la pièce « D’un retournement l’autre. Comédie sérieuse sur la crise financière » de Frédéric Lordon (Seuil).
Musique originale de Elliott Covrigaru
C’est la crise, la bourse dégringole, les banques sont au bord de la faillite, le crédit est mort, l’économie se meurt… Pour sauver leurs mises les banquiers font appel à l’État. L’État haï est soudain le sauveur ! Les citoyens paieront pour que le système perdure, que les riches restent riches, les pauvres pauvres. Adapté de la pièce de Frédéric Lordon cette histoire d’aujourd’hui se raconte en alexandrins classiques. C’est tragique comme du Racine, comique comme du Molière… Avec : Edouard Baer, Jacques Weber, François Morel, Patrick Mille, Alain Pralon, Christine Murillo, Frank de la Personne, Antoine Bourseiller, Odile Conseil, Jacques Pater...
L’émission Là-bas si j’y suis de Daniel Mermet consacrée au film, que vous pouvez écouter ici.
L’Humanité : « Quelle belle idée que d’avoir tourné dans ce décor unique, une usine désaffectée dont les murs lépreux offrent des jeux de miroir infinis, qui par la magie du cinéma se transforme à vue. »
Le Parisien « Des vers au cinéma… sur le thème de la crise : le pari était pour le moins audacieux, mais tenu par des acteurs d’un naturel éblouissant, dont Jacques Weber en banquier, François Morel en conseiller faux-cul. Les couacs de la finance deviennent tout à coup transparents pour qui n’y comprend que couic. Et qu’est-ce qu’on s’amuse à ces rimes bancaires, forcément riches ! »
Les Inrockuptibles « C’est remarquablement bien écrit, et entendre parler de titrisation ou de subprimes en vers XVIIIème est assez jouissif »
Marianne « Insolent comme Molière, ce film dit la vérité des puissants dans la langue de Racine. »
Un film de Gérard Mordillat d’après la pièce « D’un retournement l’autre. Comédie sérieuse sur la crise financière » de Frédéric Lordon (Seuil).
Musique originale de Elliott Covrigaru
Le grand retournement
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