Réalisateur | Zellner Pierre |
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En 2020, dans un contexte social plus tendu que jamais, une communauté d’activistes perd l’un des leurs lors d’une manifestation, sous les coups des forces de l’ordre. Suite à ce drame, ils vont enlever des patrons du CAC 40 pour forcer Emmanuel Macron à appliquer une réelle politique anti-capitaliste.
Avec Jean-Jacques VANIER, Anne-Laure GRUET et Antoine JOUANOLOU
Et la participation de : Guillaume Meurice, Charline Vanhoenacker, Danièle Obono
"L’idée de ce film d’anticipation est née de la conviction qu’il était nécessaire de structurer l’aspiration révolutionnaire anticapitaliste pour la rendre concevable dans le monde moderne. J’ai souhaité par cette histoire développer l’idée qu’un changement de logiciel était le seul choix lucide pour construire une société durable."
Pierre Zellner
Critique Film : "Jusqu’à présent, Pierre Zellner n’était apparu au générique d’un long métrage que comme premier assistant de Albert Tudieshe sur le film La belle époque, sorti en 2014. Pour réaliser Basta capital, critique débridée et savoureuse du capitalisme néolibéral, il a bénéficié du soutien de plus de 150 bénévoles dont un certain nombre de professionnels du cinéma, d’une campagne de financement participatif et d’un prêt personnel."
àvoir-àlire : "On ne peut pas imaginer une situation plus cocasse que celle de l’enlèvement des principaux responsables des entreprises du CAC 40 par une bande attachante d’activistes révolutionnaires socialistes. Même Emmanuel Macron est mis en scène dans cette aventure aussi rocambolesque que dramatique, sur fond de crise économique grave et de ruptures sociales profondes au sein de la société française, amenant le président parodié à revêtir l’habit d’un communiste internationaliste et écologiste. Pierre Zellner ne manque pas d’air ! Il fait cuire des pâtes par ses chefs d’entreprise, leur fait passer le balai dans le local qui sert d’espace de mise en quarantaine, les fait travailler comme dans leurs propres entreprises, et surtout fait endosser à Macron une alternance politique à 300 %, en engageant la nationalisation des principaux groupes, en abrogeant les dividendes, en annulant la dette des pays du tiers-monde et en régularisant l’ensemble des sans-papiers. Politique-fiction ? Peut-être. En tout cas, voilà un sujet détonnant qui ne manquera pas de faire frémir les plus capitalistes d’entre nous et de faire rire avec délectation les militants de gauche, jusqu’à une certaine limite tout de même."
En 2020, dans un contexte social plus tendu que jamais, une communauté d’activistes perd l’un des leurs lors d’une manifestation, sous les coups des forces de l’ordre. Suite à ce drame, ils vont enlever des patrons du CAC 40 pour forcer Emmanuel Macron à appliquer une réelle politique anti-capitaliste.
Avec Jean-Jacques VANIER, Anne-Laure GRUET et Antoine JOUANOLOU
Et la participation de : Guillaume Meurice, Charline Vanhoenacker, Danièle Obono
"L’idée de ce film d’anticipation est née de la conviction qu’il était nécessaire de structurer l’aspiration révolutionnaire anticapitaliste pour la rendre concevable dans le monde moderne. J’ai souhaité par cette histoire développer l’idée qu’un changement de logiciel était le seul choix lucide pour construire une société durable."
Pierre Zellner
Critique Film : "Jusqu’à présent, Pierre Zellner n’était apparu au générique d’un long métrage que comme premier assistant de Albert Tudieshe sur le film La belle époque, sorti en 2014. Pour réaliser Basta capital, critique débridée et savoureuse du capitalisme néolibéral, il a bénéficié du soutien de plus de 150 bénévoles dont un certain nombre de professionnels du cinéma, d’une campagne de financement participatif et d’un prêt personnel."
àvoir-àlire : "On ne peut pas imaginer une situation plus cocasse que celle de l’enlèvement des principaux responsables des entreprises du CAC 40 par une bande attachante d’activistes révolutionnaires socialistes. Même Emmanuel Macron est mis en scène dans cette aventure aussi rocambolesque que dramatique, sur fond de crise économique grave et de ruptures sociales profondes au sein de la société française, amenant le président parodié à revêtir l’habit d’un communiste internationaliste et écologiste. Pierre Zellner ne manque pas d’air ! Il fait cuire des pâtes par ses chefs d’entreprise, leur fait passer le balai dans le local qui sert d’espace de mise en quarantaine, les fait travailler comme dans leurs propres entreprises, et surtout fait endosser à Macron une alternance politique à 300 %, en engageant la nationalisation des principaux groupes, en abrogeant les dividendes, en annulant la dette des pays du tiers-monde et en régularisant l’ensemble des sans-papiers. Politique-fiction ? Peut-être. En tout cas, voilà un sujet détonnant qui ne manquera pas de faire frémir les plus capitalistes d’entre nous et de faire rire avec délectation les militants de gauche, jusqu’à une certaine limite tout de même."
Basta capital