Réalisateur | Rosi Gianfranco |
Partager sur |
De combien de douleurs, de combien de vies se compose l’existence au Moyen-Orient ? Notturno a été tourné au cours des trois dernières années le long des frontières de l’Irak, du Kurdistan, de la Syrie et du Liban ; tout autour, des signes de violence et de destruction, et au premier plan l’humanité qui se réveille chaque jour d’une nuit qui paraît infinie.
Mostra de Venise 2020 - Prix UNICEF & Prix du Meilleur film italien
Festival du film de La Rochelle 2021
Représentant de l'Italie aux Oscars 2021
Festival international du film de Toronto - 2020
BFI Lonfon Film Festival - 2020
Telluride Film Festival - 2020
Clôture du Festival du film italien d'Annecy - 2020
New-York Film festival - 2020
Libération : Aux confins de la Syrie, de l’Irak et du Liban, Gianfranco Rosi capte et sublime, dans un documentaire tout en clairs-obscurs, des lambeaux d’existences intranquilles dans le sillage de la guerre contre Daesh.
Transfuge : En serpentant le long des frontières irakiennes, kurde, syrienne et libanaise, la caméra de Rosi ramène des visions inouïes de territoires meurtris par des décennies de tragédies et de malheurs. Notturno est une recherche obstinée, envers et contre tous les nationalismes, toutes les oppositions religieuses, de l’humanité qui subsiste.
Télérama : La beauté lumineuse de ce film déchirant opposant, elle aussi, son poids d’humanité à une pulsion de mort qui ne vise rien d’autre que l’anéantissement.
Positif : Le cinéaste n’a rien perdu de son talent visuel – il est à la caméra – et livre une succession de tableaux saisissants, souvent d’une poétique beauté (par exemple, tout ce qui a trait à la famille du jeune chasseur) : clairs-obscurs oniriques, majesté de la nature, expressivité des visages.
De combien de douleurs, de combien de vies se compose l’existence au Moyen-Orient ? Notturno a été tourné au cours des trois dernières années le long des frontières de l’Irak, du Kurdistan, de la Syrie et du Liban ; tout autour, des signes de violence et de destruction, et au premier plan l’humanité qui se réveille chaque jour d’une nuit qui paraît infinie.
Mostra de Venise 2020 - Prix UNICEF & Prix du Meilleur film italien
Festival du film de La Rochelle 2021
Représentant de l'Italie aux Oscars 2021
Festival international du film de Toronto - 2020
BFI Lonfon Film Festival - 2020
Telluride Film Festival - 2020
Clôture du Festival du film italien d'Annecy - 2020
New-York Film festival - 2020
Libération : Aux confins de la Syrie, de l’Irak et du Liban, Gianfranco Rosi capte et sublime, dans un documentaire tout en clairs-obscurs, des lambeaux d’existences intranquilles dans le sillage de la guerre contre Daesh.
Transfuge : En serpentant le long des frontières irakiennes, kurde, syrienne et libanaise, la caméra de Rosi ramène des visions inouïes de territoires meurtris par des décennies de tragédies et de malheurs. Notturno est une recherche obstinée, envers et contre tous les nationalismes, toutes les oppositions religieuses, de l’humanité qui subsiste.
Télérama : La beauté lumineuse de ce film déchirant opposant, elle aussi, son poids d’humanité à une pulsion de mort qui ne vise rien d’autre que l’anéantissement.
Positif : Le cinéaste n’a rien perdu de son talent visuel – il est à la caméra – et livre une succession de tableaux saisissants, souvent d’une poétique beauté (par exemple, tout ce qui a trait à la famille du jeune chasseur) : clairs-obscurs oniriques, majesté de la nature, expressivité des visages.
Notturno