Réalisateurs | Debats Maïté , Zardoya Josiane |
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Ils sont treize adultes et neuf enfants engagés dans une aventure qui doit durer : « Habiter ensemble et chacun chez soi ». L’enjeu est fort. Entre jours paisibles et flambées de dissensions, ils s’inventent au quotidien dans l’habitat participatif. Le pragmatisme se heurte à l’utopie, l’individualisme à la coopération. À la croisée de l’intime, du politique, du poétique, le film nous invite à actualiser nos questionnements sur la propriété, l’écologie, la coopération, la transmission.
Les prémices du phénomène apparaissent au début des années 1950 avec la création du mouvement des Castors, initié par des ouvriers bretons pour répondre à un besoin urgent de logements. Cette forme d’autogestion s’affirme encore un peu plus dans les décennies 70 et 80 en défiance vis-à-vis des promoteurs classiques, notamment par le biais du Mouvement de l’habitat groupé autogéré. Depuis une vingtaine d’années, cette démarche s’institutionnalise et se professionnalise grâce à l’émergence d’acteurs dédiés à l’accompagnement de ces projets et à des collectivités de plus en plus ouvertes. Depuis la loi ALUR en 2014, les aspirants à l’habitat participatif peuvent s’associer directement avec un bailleur social.
Pour une projection en salle vous pouvez écrire à : ruedelutopie@gmail.com
Pour suivre l’actualité du film, la page Facebook : Rue de l’utopie, le film
Réalisation : Josiane Zardoya et Maïté Débats
En collaboration avec Arlette Girardot
Image : Arlette Girardot
Montage : Josiane Zardoya
Musique originale : Olivier Daviaud
Mixage : Florence Lhermite
Affiche : Elza Lacotte
Production : Magnolias Films, Pluriel.e.s, Josiane Zardoya
Ils sont treize adultes et neuf enfants engagés dans une aventure qui doit durer : « Habiter ensemble et chacun chez soi ». L’enjeu est fort. Entre jours paisibles et flambées de dissensions, ils s’inventent au quotidien dans l’habitat participatif. Le pragmatisme se heurte à l’utopie, l’individualisme à la coopération. À la croisée de l’intime, du politique, du poétique, le film nous invite à actualiser nos questionnements sur la propriété, l’écologie, la coopération, la transmission.
Les prémices du phénomène apparaissent au début des années 1950 avec la création du mouvement des Castors, initié par des ouvriers bretons pour répondre à un besoin urgent de logements. Cette forme d’autogestion s’affirme encore un peu plus dans les décennies 70 et 80 en défiance vis-à-vis des promoteurs classiques, notamment par le biais du Mouvement de l’habitat groupé autogéré. Depuis une vingtaine d’années, cette démarche s’institutionnalise et se professionnalise grâce à l’émergence d’acteurs dédiés à l’accompagnement de ces projets et à des collectivités de plus en plus ouvertes. Depuis la loi ALUR en 2014, les aspirants à l’habitat participatif peuvent s’associer directement avec un bailleur social.
Pour une projection en salle vous pouvez écrire à : ruedelutopie@gmail.com
Pour suivre l’actualité du film, la page Facebook : Rue de l’utopie, le film
Réalisation : Josiane Zardoya et Maïté Débats
En collaboration avec Arlette Girardot
Image : Arlette Girardot
Montage : Josiane Zardoya
Musique originale : Olivier Daviaud
Mixage : Florence Lhermite
Affiche : Elza Lacotte
Production : Magnolias Films, Pluriel.e.s, Josiane Zardoya
Rue de l'utopie