Réalisateurs | Girardot Raphaël, Gaullier Vincent |
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Le travail. De tous, le pire travail qui soit parce que pénible, dangereux, sous-payé, précaire... le pire qui soit parce que nié par notre société de consommation... le pire travail qui soit est celui de découpeur, tripier, tueur, désosseur, pareur, saigneur… Autant de spécialités que l’on retrouve dans un abattoir. Le lieu chargé de fantasmes, métaphore de cette société qui broie, formate… symbole de ce monde du travail qui cache ses prolétaires et le « sale boulot ».
Télérama : "il ne s’agit pas d’opposer l’homme et l’animal sur l’échelle de la douleur, mais bien de rétablir un fait incontestable : les « saigneurs », comme tous les prolétaires de nos usines, subissent de plein fouet les cadences infernales d’un modèle néolibéral à bout de souffle, qui nie toute humanité. De part et d’autre du couteau."
L’Humanité : Ce documentaire sensible et fort donne à voir et à entendre les invisibles souffrances et intelligences ouvrières.
Le Nouvel Obs : " Hallucinant. Il n’y a pas d’autre mot. Ce documentaire sur le fonctionnement d’un abattoir moderne (et modèle) est incroyable (...) En termes de cinéma, c’est une sacré réussite.
Les Fiches du cinéma : "Les différents acteurs de la vie d’un abattoir passent sous nos yeux effarés. Fiers de leur savoir-faire, mais fatigués de leurs journées, ils sont le symbole des prolétaires cachés."
Réalisation : Vincent Gaullier, Raphaël Girardot
Image : Raphaël Girardot, Philippe Van Leeuw
Son : Vincent Gaullier
Montage : Charlotte Tourres
Le travail. De tous, le pire travail qui soit parce que pénible, dangereux, sous-payé, précaire... le pire qui soit parce que nié par notre société de consommation... le pire travail qui soit est celui de découpeur, tripier, tueur, désosseur, pareur, saigneur… Autant de spécialités que l’on retrouve dans un abattoir. Le lieu chargé de fantasmes, métaphore de cette société qui broie, formate… symbole de ce monde du travail qui cache ses prolétaires et le « sale boulot ».
Télérama : "il ne s’agit pas d’opposer l’homme et l’animal sur l’échelle de la douleur, mais bien de rétablir un fait incontestable : les « saigneurs », comme tous les prolétaires de nos usines, subissent de plein fouet les cadences infernales d’un modèle néolibéral à bout de souffle, qui nie toute humanité. De part et d’autre du couteau."
L’Humanité : Ce documentaire sensible et fort donne à voir et à entendre les invisibles souffrances et intelligences ouvrières.
Le Nouvel Obs : " Hallucinant. Il n’y a pas d’autre mot. Ce documentaire sur le fonctionnement d’un abattoir moderne (et modèle) est incroyable (...) En termes de cinéma, c’est une sacré réussite.
Les Fiches du cinéma : "Les différents acteurs de la vie d’un abattoir passent sous nos yeux effarés. Fiers de leur savoir-faire, mais fatigués de leurs journées, ils sont le symbole des prolétaires cachés."
Réalisation : Vincent Gaullier, Raphaël Girardot
Image : Raphaël Girardot, Philippe Van Leeuw
Son : Vincent Gaullier
Montage : Charlotte Tourres
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