Réalisateur | Jul et Guigue |
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Dans une préhistoire condamnée à ne jamais évoluer, un père et sa fille en conflit vont bouleverser la routine de l’Âge de pierre. Après un aller-retour dans le futur, ils ramènent accidentellement l’équivalent d’une clé coudée Ikéa qui va enfin déclencher l’Évolution, pour le meilleur et surtout pour le pire.
Festival de Cannes 2024 (Sélection officielle)
Tout public
Les Fiches du cinéma : Un long métrage qui étire les gags de la série culte de Jul et Guigue en une fresque satirique réjouissante autant que féroce.
Télérama : L’auteur et coréalisateur ne se contente pas d’enchaîner les scènes à la manière d’un film à sketchs, mais développe une intrigue solidement charpentée avec voyage spatio-temporel à la clé, en s’offrant, au passage, une parenthèse inattendue dans le « live action » avec comédiens en chair et en poils. Seul petit bémol, Jul a aussi maintenu le rythme d’enfer de sa série – dix blagues ou calembours par minute, au bas mot.
Le Monde : La simplicité naïve du dessin est compliquée par une redoutable propension au calembour et au registre référentiel. Autant dire que la fantaisie est aux commandes et qu’il n’y a qu’à se laisser conduire.
Dans une préhistoire condamnée à ne jamais évoluer, un père et sa fille en conflit vont bouleverser la routine de l’Âge de pierre. Après un aller-retour dans le futur, ils ramènent accidentellement l’équivalent d’une clé coudée Ikéa qui va enfin déclencher l’Évolution, pour le meilleur et surtout pour le pire.
Festival de Cannes 2024 (Sélection officielle)
Tout public
Les Fiches du cinéma : Un long métrage qui étire les gags de la série culte de Jul et Guigue en une fresque satirique réjouissante autant que féroce.
Télérama : L’auteur et coréalisateur ne se contente pas d’enchaîner les scènes à la manière d’un film à sketchs, mais développe une intrigue solidement charpentée avec voyage spatio-temporel à la clé, en s’offrant, au passage, une parenthèse inattendue dans le « live action » avec comédiens en chair et en poils. Seul petit bémol, Jul a aussi maintenu le rythme d’enfer de sa série – dix blagues ou calembours par minute, au bas mot.
Le Monde : La simplicité naïve du dessin est compliquée par une redoutable propension au calembour et au registre référentiel. Autant dire que la fantaisie est aux commandes et qu’il n’y a qu’à se laisser conduire.
Silex and the city