Réalisateur | Emmanuel Desbouiges et Dorothée Tromparent |
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Avoir 20 ans dans un squat de Nouméa
Yemima a 25 ans. Elle a arrêté l’école très tôt et enchaîne, depuis, les stages de formation ou de réinsertion et les programmes de la « deuxième chance » sans lendemain. Son quotidien se partage entre les petits boulots payés au lance-pierre, les coups de main à la famille, les parties de carte et les séquences de télénovelas avec ses copines. Lorsqu’on lui parle d’avenir, elle sourit et soupire.
Car Yemima est née au squat Coca-Cola, l’un des pires bidonvilles de Nouméa. Elle vit dans une cabane de tôles, sans eau, ni électricité, dans la boue, au bord d’une mangrove putride, tout près de l’autoroute.
C’est son histoire, son quotidien et celui de sa bande copines, que ce documentaire réalisé par Dorothée Tromparent nous permet de suivre.
« Avec une force inédite : à nos côtés, Yemima s’est saisie d’une caméra. Dans ce film, nos regards se mêlent pour mettre en images la réalité des jeunes qui vivent dans les cabanes de la misère », explique la réalisatrice. « Et le donner à voir et ressentir, de l’intérieur ».
Avoir 20 ans dans un squat de Nouméa
Yemima a 25 ans. Elle a arrêté l’école très tôt et enchaîne, depuis, les stages de formation ou de réinsertion et les programmes de la « deuxième chance » sans lendemain. Son quotidien se partage entre les petits boulots payés au lance-pierre, les coups de main à la famille, les parties de carte et les séquences de télénovelas avec ses copines. Lorsqu’on lui parle d’avenir, elle sourit et soupire.
Car Yemima est née au squat Coca-Cola, l’un des pires bidonvilles de Nouméa. Elle vit dans une cabane de tôles, sans eau, ni électricité, dans la boue, au bord d’une mangrove putride, tout près de l’autoroute.
C’est son histoire, son quotidien et celui de sa bande copines, que ce documentaire réalisé par Dorothée Tromparent nous permet de suivre.
« Avec une force inédite : à nos côtés, Yemima s’est saisie d’une caméra. Dans ce film, nos regards se mêlent pour mettre en images la réalité des jeunes qui vivent dans les cabanes de la misère », explique la réalisatrice. « Et le donner à voir et ressentir, de l’intérieur ».
Squat Coca