Réalisateur | Hirszman Léon |
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Lion d’or à la Mostra de Venise, 1981
Dans le Brésil des années 80, une famille composée d’un père traditionaliste et paternaliste dans sa famille aussi bien que dans le syndicat qu’il dirige. À l’occasion d’une grève à l’usine, le fils décide de ne pas y participer. Sa fiancée est beaucoup plus sensible aux injustices sociales et la mère s’efforce de maintenir la famille unie malgré tout...
Avec : Carlos Alberto Ricelli, Bete Mendes, Gianfrancesco Guarnieri, Fernanda Montenegro, d’après la pièce de Gianfrancesco Guarnieri.
Le titre de ce film de 1981, du Brésilien Leon Hirszman, peut être lu comme un manifeste. Contre le « drame bourgeois » gorgé de bons sentiments abreuvant la télévision naissante. Contre le paternalisme d’un cinéma voulant offrir des modèles au bon peuple. Aussi commence-t-il comme une telenovela, amours fleuries de deux jeunes gens, romance, enfant attendu et promesse de mariage. Ce n’est pas un artifice : le cinéaste, qui s’est toujours intéressé à la culture populaire, avec entre autres Majorité absolue (1964), sur l’inventivité des illettrés, ou Chants de travail (1976), accompagnant les ouvriers agricoles, ne pouvait être indifférent à ce qui passait alors par la télévision, qui commençait à entrer dans tous les foyers. Non pour endormir son public, comme le faisaient ces fictions doucereuses, mais pour le secouer. Emile Breton - L’Humanité
- Lion d’Or au Festival de Venise en 1981
- Grand Coral au Festival de La Havane en 1981
- Montgolfière d’Or au Festival des trois continent de Nantes en 1981
- Premier Prix au Festival Mémoires ouvrières de Montreuil en 1982
Réalisation : Leon Hirszman
Scénario : Gianfranco Guarnieri
Photo : Lauro Escorel Filho
Montage : Eduardo Escorel
Musique : Radames Gnatalli
Lion d’or à la Mostra de Venise, 1981
Dans le Brésil des années 80, une famille composée d’un père traditionaliste et paternaliste dans sa famille aussi bien que dans le syndicat qu’il dirige. À l’occasion d’une grève à l’usine, le fils décide de ne pas y participer. Sa fiancée est beaucoup plus sensible aux injustices sociales et la mère s’efforce de maintenir la famille unie malgré tout...
Avec : Carlos Alberto Ricelli, Bete Mendes, Gianfrancesco Guarnieri, Fernanda Montenegro, d’après la pièce de Gianfrancesco Guarnieri.
Le titre de ce film de 1981, du Brésilien Leon Hirszman, peut être lu comme un manifeste. Contre le « drame bourgeois » gorgé de bons sentiments abreuvant la télévision naissante. Contre le paternalisme d’un cinéma voulant offrir des modèles au bon peuple. Aussi commence-t-il comme une telenovela, amours fleuries de deux jeunes gens, romance, enfant attendu et promesse de mariage. Ce n’est pas un artifice : le cinéaste, qui s’est toujours intéressé à la culture populaire, avec entre autres Majorité absolue (1964), sur l’inventivité des illettrés, ou Chants de travail (1976), accompagnant les ouvriers agricoles, ne pouvait être indifférent à ce qui passait alors par la télévision, qui commençait à entrer dans tous les foyers. Non pour endormir son public, comme le faisaient ces fictions doucereuses, mais pour le secouer. Emile Breton - L’Humanité
- Lion d’Or au Festival de Venise en 1981
- Grand Coral au Festival de La Havane en 1981
- Montgolfière d’Or au Festival des trois continent de Nantes en 1981
- Premier Prix au Festival Mémoires ouvrières de Montreuil en 1982
Réalisation : Leon Hirszman
Scénario : Gianfranco Guarnieri
Photo : Lauro Escorel Filho
Montage : Eduardo Escorel
Musique : Radames Gnatalli
Ils ne portent pas de smoking