Réalisateur | Marker Chris |
Partager sur |
Le fond de l’air est rouge de Chris Marker retrace en deux parties (Les mains fragiles et Les mains coupées) les événements politiques de "la nouvelle gauche" dans les années 60-70. Passant par la guerre du Vietnam à la mort du Che, de Mai 68 au Printemps de Prague, du scandale du Watergate au coup d’État au Chili...
"Au cours de ces dix années, un certain nombre d’hommes et de forces (quelquefois plus instinctives qu’organisées) ont tenté de jouer pour leur compte, fût-ce en renversant les pièces. Tous ont échoué sur les terrains qu’ils avaient choisis. C’est quand même leur passage qui a le plus profondément transformé les données politiques de notre temps. Ce film ne prétend qu’à mettre en évidence quelques étapes de cette transformation.” Chris Marker
Première partie : Les Mains fragiles
I. Du Vietnam à la mort du Che
II. Mai 68 et tout ça
Deuxième partie : Les Mains coupées
I. Du printemps de Prague au Programme commun
II. Du Chili à quoi au fait ?
Toute personne qui milite pour un monde meilleur devrait voir ce film. Rarement un film politique a traversé le temps avec autant de force car, quelque fut l’époque à laquelle on l’a vu, on le revoit ou on le découvre, il éclaire l’histoire et le présent d’une lucidité confondante, évitant les pièges des dogmatismes. C’est la force des grandes œuvres et nous voilà devant un film important, fondamental même, qui interroge avec finesse les rapports de forces conduisant à la transformation du monde. Dans notre temps, le fond de l’air n’est plus très rouge mais à bien regarder et réfléchir à ce que nous raconte Chris Marker, ce film devrait nous aider à ne pas laisser passer le prochain train comme si de rien n’avait été.
Une analyse du film par DVD Classik disponible ICI
Télérama : « La meilleure porte d’entrée dans la Planète Marker. Trois heures d’images d’archives sublimées par un montage inspiré et un commentaire poétique. »
Slate : « Il s’agit d’une composition qui se rapproche d’une grande fresque comme aurait pu la concevoir Picasso. »
Causette : « Mettant en relation les événements insurrectionnels comme aucun livre d’histoire n’a osé le faire, Marker fait jaillir la beauté de l’insoumission. »
Le fond de l’air est rouge de Chris Marker retrace en deux parties (Les mains fragiles et Les mains coupées) les événements politiques de "la nouvelle gauche" dans les années 60-70. Passant par la guerre du Vietnam à la mort du Che, de Mai 68 au Printemps de Prague, du scandale du Watergate au coup d’État au Chili...
"Au cours de ces dix années, un certain nombre d’hommes et de forces (quelquefois plus instinctives qu’organisées) ont tenté de jouer pour leur compte, fût-ce en renversant les pièces. Tous ont échoué sur les terrains qu’ils avaient choisis. C’est quand même leur passage qui a le plus profondément transformé les données politiques de notre temps. Ce film ne prétend qu’à mettre en évidence quelques étapes de cette transformation.” Chris Marker
Première partie : Les Mains fragiles
I. Du Vietnam à la mort du Che
II. Mai 68 et tout ça
Deuxième partie : Les Mains coupées
I. Du printemps de Prague au Programme commun
II. Du Chili à quoi au fait ?
Toute personne qui milite pour un monde meilleur devrait voir ce film. Rarement un film politique a traversé le temps avec autant de force car, quelque fut l’époque à laquelle on l’a vu, on le revoit ou on le découvre, il éclaire l’histoire et le présent d’une lucidité confondante, évitant les pièges des dogmatismes. C’est la force des grandes œuvres et nous voilà devant un film important, fondamental même, qui interroge avec finesse les rapports de forces conduisant à la transformation du monde. Dans notre temps, le fond de l’air n’est plus très rouge mais à bien regarder et réfléchir à ce que nous raconte Chris Marker, ce film devrait nous aider à ne pas laisser passer le prochain train comme si de rien n’avait été.
Une analyse du film par DVD Classik disponible ICI
Télérama : « La meilleure porte d’entrée dans la Planète Marker. Trois heures d’images d’archives sublimées par un montage inspiré et un commentaire poétique. »
Slate : « Il s’agit d’une composition qui se rapproche d’une grande fresque comme aurait pu la concevoir Picasso. »
Causette : « Mettant en relation les événements insurrectionnels comme aucun livre d’histoire n’a osé le faire, Marker fait jaillir la beauté de l’insoumission. »
Le fond de l'air est rouge - Première partie
Le fond de l'air est rouge - Deuxième partie