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Adieu Barbiana


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Kleindienst Bernard

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Dans les années 1960, Don Lorenzo Milani, curé, transforme une paroisse en école pour les jeunes garçons de la région refusés aux examens de l’Etat. La classe au fur et à mesure de ses agrandissements devient une véritable communauté. 365 jours par an, 7 jours par semaines, 10 heures de classes par jour, les enfants de Barbiana, avec leur professeur, lisent les journaux quotidiens pour comprendre le monde extérieur, apprennent à lire, à parler, à nager. Lors du tournage, Bernard Kleindienst retrouve les élèves qui lui racontent cette aventure hors du commun et comment elle a fait d’eux des hommes accomplis.


La critique du Monde 

Au début des années 1960, en Toscane, non loin de Florence, mais loin dans la montagne : Barbiana. Pas d'électricité, même pas de route. Un village perdu hors du temps et mourant. C'est l'exode rural. Pourtant, il va devenir célèbre. Car Don Lorenzo Milani y est exilé par son évêque et crée une école secondaire, pas comme les autres. Le prêtre enseigne l'été sous les arbres, et dans un coin du presbytère, l'hiver. Les enfants font des kilomètres à pied pour assister au cours, " Douze heures par jour, 363 jours par an, dit un ancien élève, en ajoutant : il fallait rattraper des siècles de retard culturel dans ces campagnes. " On apprend tout, la mécanique, les sciences et le latin, la nature et la vie. Tous doivent réussir. Pas de classement, ni de notes. Les derniers seront les premiers. C'est l'Evangile. Ils n'en seront pas moins reçus aux examens officiels.

On afflue à Barbiana. Alors les aînés forment les cadets. Le seul enseignement que Don Milani ne délègue pas est celui de la langue, parce que "maîtriser la parole est une arme". La lecture des journaux est aussi de première importance. Don Milani invite un avocat, un mathématicien, un ministre africain, le maire de Chicago. Un journaliste se souvient : " Ces enfants isolés connaissaient la réalité du monde, étaient de futurs citoyens. " La plupart sont devenus éducateurs, enseignants, syndicalistes. Responsables, dans un monde nouveau. Ce documentaire de Bernard Kleindienst nous emporte jusqu'au bout, comme emportait la foi de Don Milani, qui a soulevé une montagne. Le Monde

LETTRE À UNE ENSEIGNANTE

Ouvrage épuisé depuis les années 1970 en France, la Lettre à une enseignante de l’École de Barbiana était et demeure un classique de pédagogie critique. Les Éditions Agone ont réédité et intégralement révisée le livre, préfacé par Laurence De Cock, qui en retrace le contexte de réception ; et introduit par un avant-propos de Pier Paolo Pasolini, inédit en français : en octobre 1967, les élèves de Barbiana rencontrait l’écrivain et cinéaste, à la Casa della Cultura de Milan, autour de leur livre et de la figure de Don Lorenzo Milani, décédé depuis peu. Éditions Agone

FICHE TECHNIQUE

Réalisation : Bernard Kleindienst
Image : André Caillot, Charles Girard, Yves-Marie Poulizac
Son : Bernard Séraphin
Montage : Yves Lunet
Production et distribution : Les Films de l’Interstice / Sofis-Films (Martin Pierlot)

  • Adieu Barbiana

    Adieu Barbiana


    Langue : Multilingue
  • Thématiques <p>P&eacute;dagogie</p>
  • Produit par Les Films de l’Interstice
  • Proposé par <p>Sofis-Films (Martin Pierlot)</p>
  • Année de sortie 1994
  • Pays de production France
  • Langue VF
  • Zone de diffusion Monde
  • Disponibilité Location / Vente
  • Genre Documentaire
  • Durée 60 min

Dans les années 1960, Don Lorenzo Milani, curé, transforme une paroisse en école pour les jeunes garçons de la région refusés aux examens de l’Etat. La classe au fur et à mesure de ses agrandissements devient une véritable communauté. 365 jours par an, 7 jours par semaines, 10 heures de classes par jour, les enfants de Barbiana, avec leur professeur, lisent les journaux quotidiens pour comprendre le monde extérieur, apprennent à lire, à parler, à nager. Lors du tournage, Bernard Kleindienst retrouve les élèves qui lui racontent cette aventure hors du commun et comment elle a fait d’eux des hommes accomplis.


La critique du Monde 

Au début des années 1960, en Toscane, non loin de Florence, mais loin dans la montagne : Barbiana. Pas d'électricité, même pas de route. Un village perdu hors du temps et mourant. C'est l'exode rural. Pourtant, il va devenir célèbre. Car Don Lorenzo Milani y est exilé par son évêque et crée une école secondaire, pas comme les autres. Le prêtre enseigne l'été sous les arbres, et dans un coin du presbytère, l'hiver. Les enfants font des kilomètres à pied pour assister au cours, " Douze heures par jour, 363 jours par an, dit un ancien élève, en ajoutant : il fallait rattraper des siècles de retard culturel dans ces campagnes. " On apprend tout, la mécanique, les sciences et le latin, la nature et la vie. Tous doivent réussir. Pas de classement, ni de notes. Les derniers seront les premiers. C'est l'Evangile. Ils n'en seront pas moins reçus aux examens officiels.

On afflue à Barbiana. Alors les aînés forment les cadets. Le seul enseignement que Don Milani ne délègue pas est celui de la langue, parce que "maîtriser la parole est une arme". La lecture des journaux est aussi de première importance. Don Milani invite un avocat, un mathématicien, un ministre africain, le maire de Chicago. Un journaliste se souvient : " Ces enfants isolés connaissaient la réalité du monde, étaient de futurs citoyens. " La plupart sont devenus éducateurs, enseignants, syndicalistes. Responsables, dans un monde nouveau. Ce documentaire de Bernard Kleindienst nous emporte jusqu'au bout, comme emportait la foi de Don Milani, qui a soulevé une montagne. Le Monde

LETTRE À UNE ENSEIGNANTE

Ouvrage épuisé depuis les années 1970 en France, la Lettre à une enseignante de l’École de Barbiana était et demeure un classique de pédagogie critique. Les Éditions Agone ont réédité et intégralement révisée le livre, préfacé par Laurence De Cock, qui en retrace le contexte de réception ; et introduit par un avant-propos de Pier Paolo Pasolini, inédit en français : en octobre 1967, les élèves de Barbiana rencontrait l’écrivain et cinéaste, à la Casa della Cultura de Milan, autour de leur livre et de la figure de Don Lorenzo Milani, décédé depuis peu. Éditions Agone

FICHE TECHNIQUE

Réalisation : Bernard Kleindienst
Image : André Caillot, Charles Girard, Yves-Marie Poulizac
Son : Bernard Séraphin
Montage : Yves Lunet
Production et distribution : Les Films de l’Interstice / Sofis-Films (Martin Pierlot)

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  • Thématiques <p>P&eacute;dagogie</p>
  • Produit par Les Films de l’Interstice
  • Proposé par <p>Sofis-Films (Martin Pierlot)</p>
  • Année de sortie 1994
  • Pays de production France
  • Langue VF
  • Zone de diffusion Monde
  • Disponibilité Location / Vente
  • Genre Documentaire
  • Durée 60 min

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