Réalisateur | Cibien Laurent |
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Durant les trois années où il exerce la fonction de Premier ministre d’Emmanuel Macron, de mai 2017 à juillet 2020, Edouard Philippe raconte au réalisateur Laurent Cibien, son « pote de gauche » rencontré au lycée il y a bientôt 30 ans, sa vie « aux manettes » de Matignon.
Ce troisième épisode de la série « Édouard, mon pote de droite » est construit à partir de conversations régulières dans son bureau, d’une liberté de ton ped’une liberté de ton permise par l’amitié entre les deux hommes. Nourri de situations observées au plus près et des événements inattendus qui surgissent dans l’actualité, ce film est le récit sur une très longue période de la fabrication d’une carrière politique, celle d’Édouard Philippe, et une analyse de la fabrique du pouvoir dans la France contemporaine.
Qu’est-ce-que c’est que diriger un gouvernement de la 5ème République ? Comment se prend une décision ? Que se passe-t-il quand on s’est trompé ? A-t-on autant de pouvoir qu’on l’imagine ? A-t-on le temps de réfléchir à ce qu’on fait ? Est-ce qu’il y a de la place pour le doute ?
Plutôt que des commentaires sur l’actualité, les interrogations du réalisateur, sceptique sur la possibilité même d’un pouvoir juste et équitable, amènent le Premier ministre, libéral de droite assumé et convaincu qu’il n’y a pas d’autre organisation possible d’une société, à des réflexions plus intimes et singulières mais aussi plus universelles, celles d’un homme qui a voué sa vie à ce but : exercer des responsabilités au plus haut niveau de l’Etat.
Dans cette discussion, le ton oscille entre la familiarité et la gravité, la légèreté et le tragique. Par petites touches, le portrait d’un personnage se dessine sous toutes ses facettes - un portrait qui évolue au fur et à mesure des événements et des événements et des épreuves.
Durant les trois années où il exerce la fonction de Premier ministre d’Emmanuel Macron, de mai 2017 à juillet 2020, Edouard Philippe raconte au réalisateur Laurent Cibien, son « pote de gauche » rencontré au lycée il y a bientôt 30 ans, sa vie « aux manettes » de Matignon.
Ce troisième épisode de la série « Édouard, mon pote de droite » est construit à partir de conversations régulières dans son bureau, d’une liberté de ton ped’une liberté de ton permise par l’amitié entre les deux hommes. Nourri de situations observées au plus près et des événements inattendus qui surgissent dans l’actualité, ce film est le récit sur une très longue période de la fabrication d’une carrière politique, celle d’Édouard Philippe, et une analyse de la fabrique du pouvoir dans la France contemporaine.
Qu’est-ce-que c’est que diriger un gouvernement de la 5ème République ? Comment se prend une décision ? Que se passe-t-il quand on s’est trompé ? A-t-on autant de pouvoir qu’on l’imagine ? A-t-on le temps de réfléchir à ce qu’on fait ? Est-ce qu’il y a de la place pour le doute ?
Plutôt que des commentaires sur l’actualité, les interrogations du réalisateur, sceptique sur la possibilité même d’un pouvoir juste et équitable, amènent le Premier ministre, libéral de droite assumé et convaincu qu’il n’y a pas d’autre organisation possible d’une société, à des réflexions plus intimes et singulières mais aussi plus universelles, celles d’un homme qui a voué sa vie à ce but : exercer des responsabilités au plus haut niveau de l’Etat.
Dans cette discussion, le ton oscille entre la familiarité et la gravité, la légèreté et le tragique. Par petites touches, le portrait d’un personnage se dessine sous toutes ses facettes - un portrait qui évolue au fur et à mesure des événements et des événements et des épreuves.
Edouard, mon pote de droite 3