Réalisateur | Magneron Jean-Luc |
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Tourné au cœur des évènements, composé d’interviews et d’archives exclusives, Mai 68, La Belle Ouvrage fait la lumière sur cette révolution sociale. Le film dénonce les brutalités policières au plus proche de l’action. Débutant par le célèbre discours du Général de Gaulle, composé d’interviews et de témoignages percutants des camps opposés (personnalités du monde politique, intellectuels, artistes et étudiants), le film nous transporte au cœur de l’action, au milieu des barricades et des victimes de la répression.
L’Humanité : "Le film circonscrit le contexte social et historique, singulièrement la période à peine antérieure qui vit les forces de police sévir sous les ordres du préfet Papon. Reste l’irremplaçable valeur de l’archive."
Le Monde : "Journalistes, médecins, étudiants, passants, résidents du Quartier latin unissent ici leurs voix pour décrire ce qui relève d’un scandale moral et d’une faillite de l’Etat de droit. Utilisation de gaz asphyxiants, tirs de grenades à jet tendu, matraquage de gens à terre, tabassage de passants, cassage de gueule obligatoire par les « comités d’accueil » des commissariats, coups dans les parties génitales, viols de femmes, humiliations permanentes, cheveux scalpés au couteau, insultes haineuses, hommes déchaînés échappant à l’autorité des gradés, traitement spécial des étrangers… on en passe et des meilleures. Tout cela naturellement et soigneusement entretenu et couvert par l’Etat-Léviathan, parfaite incarnation de la monstruosité nécessaire, selon Thomas Hobbes, au bon gouvernement des peuples. A l’heure où, en France, les escadrons de CRS s’invitent de nouveau dans les enceintes universitaires pour y faire le ménage, la vision d’un tel film invite à une méditation sur l’évolution de notre société."
Avoir-Alire : "Ce documentaire sans concession ni effets de montage particuliers, se compose de témoignages, qui éclairent d’une lumière assez crue la violence des événements. Cette dimension du mai 68 estudiantin n’est pas si souvent abordée, en tout cas pas d’une manière aussi directe, à travers les propos de témoins ou d’acteurs des manifestations, souvent les deux."
Tourné au cœur des évènements, composé d’interviews et d’archives exclusives, Mai 68, La Belle Ouvrage fait la lumière sur cette révolution sociale. Le film dénonce les brutalités policières au plus proche de l’action. Débutant par le célèbre discours du Général de Gaulle, composé d’interviews et de témoignages percutants des camps opposés (personnalités du monde politique, intellectuels, artistes et étudiants), le film nous transporte au cœur de l’action, au milieu des barricades et des victimes de la répression.
L’Humanité : "Le film circonscrit le contexte social et historique, singulièrement la période à peine antérieure qui vit les forces de police sévir sous les ordres du préfet Papon. Reste l’irremplaçable valeur de l’archive."
Le Monde : "Journalistes, médecins, étudiants, passants, résidents du Quartier latin unissent ici leurs voix pour décrire ce qui relève d’un scandale moral et d’une faillite de l’Etat de droit. Utilisation de gaz asphyxiants, tirs de grenades à jet tendu, matraquage de gens à terre, tabassage de passants, cassage de gueule obligatoire par les « comités d’accueil » des commissariats, coups dans les parties génitales, viols de femmes, humiliations permanentes, cheveux scalpés au couteau, insultes haineuses, hommes déchaînés échappant à l’autorité des gradés, traitement spécial des étrangers… on en passe et des meilleures. Tout cela naturellement et soigneusement entretenu et couvert par l’Etat-Léviathan, parfaite incarnation de la monstruosité nécessaire, selon Thomas Hobbes, au bon gouvernement des peuples. A l’heure où, en France, les escadrons de CRS s’invitent de nouveau dans les enceintes universitaires pour y faire le ménage, la vision d’un tel film invite à une méditation sur l’évolution de notre société."
Avoir-Alire : "Ce documentaire sans concession ni effets de montage particuliers, se compose de témoignages, qui éclairent d’une lumière assez crue la violence des événements. Cette dimension du mai 68 estudiantin n’est pas si souvent abordée, en tout cas pas d’une manière aussi directe, à travers les propos de témoins ou d’acteurs des manifestations, souvent les deux."
Mai 68, la belle ouvrage