Réalisateur | Dupieux Quentin |
Acteur | Raphaël Quenard |
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Florence veut présenter David, l’homme dont elle est follement amoureuse, à son père Guillaume. Mais David n’est pas attiré par Florence et souhaite s’en débarrasser en la jetant dans les bras de son ami Willy. Les quatre personnages se retrouvent dans un restaurant au milieu de nulle part.
Les Fiches du cinéma : Sous couvert d’une satire du monde du cinéma, un Dupieux souvent très drôle, parfois vertigineux, et comme toujours teinté d’inquiétude.
Les Cahiers du cinéma : Dans ce moment de remise en question d’un système et des abus de pouvoir qu’il autorise, Dupieux n’opte pas pour les professionnels et leur petit théâtre de masques (...). Il se range, une nouvelle fois et un peu trop commodément, du côté de cette figure de raté génial synthétisant comme lui tous les corps de métiers – du figurant au chef décorateur en passant par le monteur, capable d’étirer le temps, de le suspendre d’un geste tremblant et fragile comme un rêve de débutant.
L'Obs : Une succulente autopsie du cinéma où des acteurs se rebiffent contre un scénario qu’ils jugent médiocre.
Florence veut présenter David, l’homme dont elle est follement amoureuse, à son père Guillaume. Mais David n’est pas attiré par Florence et souhaite s’en débarrasser en la jetant dans les bras de son ami Willy. Les quatre personnages se retrouvent dans un restaurant au milieu de nulle part.
Les Fiches du cinéma : Sous couvert d’une satire du monde du cinéma, un Dupieux souvent très drôle, parfois vertigineux, et comme toujours teinté d’inquiétude.
Les Cahiers du cinéma : Dans ce moment de remise en question d’un système et des abus de pouvoir qu’il autorise, Dupieux n’opte pas pour les professionnels et leur petit théâtre de masques (...). Il se range, une nouvelle fois et un peu trop commodément, du côté de cette figure de raté génial synthétisant comme lui tous les corps de métiers – du figurant au chef décorateur en passant par le monteur, capable d’étirer le temps, de le suspendre d’un geste tremblant et fragile comme un rêve de débutant.
L'Obs : Une succulente autopsie du cinéma où des acteurs se rebiffent contre un scénario qu’ils jugent médiocre.
Le deuxième acte